Bonjour,
... mais de rien et merci de votre complément d'information !
Mais ce que je trouve bizarre, c'est qu'en même temps vous parlez d'un droit aux vacances (usuel dans tous les cas), d'un solde d'heures négatif, d'un délai de résiliation de trois, soit d'un contrat de travail apparemment à plein temps et dont le salaire est payé au mois ou à l'heure (sauf erreur de ma part bien sûr), et d'un service de piquet ou travail sur appel, ce qui est tout à fait autre chose !
Question : avez-vous aussi cotisé pour la LPP (caisse de pension - 2ème pilier) ?
Par ailleurs, je me permets de soupçonner, que vous avez effectué plusieurs heures "supplémentaires" (horaire variable), sans les noter... D'où je me pose la question de savoir comment, avec autant de travail à effectuer, vous avez eu la possibilité d'accumuler un solde négatif d'heures.
Êtes-vous titulaire d'une police d'assurance de protection juridique ?
En guise de conclusion : votre question ainsi que le présent complément d'information me laissent quelque peu perplexe. À mon avis, me basant sur vos déclarations, votre cause n'a pas été traitée par votre employeur avec le soin requis en telle circonstance - notamment : absence de dialogue ! En tout cas, le fait de vous payer les vacances non-prises, déduction faite de votre solde d'heures négatif me paraît "correct" - "mathématiquement" juste ! N'ayant ni connaissance de votre dossier ni de l'ensemble des faits ayant généré ce "litige", je ne peux que vous recommander d'accepter le décompte final respectivement la décision de votre employeur, soit de déduire le solde négatif de votre droit aux vacances. Toutefois, c'est bien entendu vous qui décidez, si vous voulez confier votre cause à votre assureur de protection juridique ou à un(e) avocat(e).
Meilleures salutations, Marcel Gottofrey |